Oh, Clamecy, oh c'est fini, et dire que c'était la ville, de mon premier café filtre, Oh Clamecy, c'est fini, je ne crois pas, que j'y retournerai un jour. Oh Clamecy, oh c'est fini, et dire que c'était la ville, de ma première pizza aux cêpes, Oh Clamecy, c'est fini, je ne crois pas, que j'y retournerai un jour.
Ce premier mois de résidence a été placé sous le signe du symbolisme. J'ai commencé mes rencontres dans une école primaire pour les achever dans une maison de retraite. Quelle chance de pouvoir croiser tant de personnes et les écouter. C'est une chose devenue impossible dans la vie normale. Pour un auteur, c'est aussi un cadeau d'une richesse inexprimable. Les actes n'ont pas de prix. Ils ponctuent une existence et s'y attachent comme des fleurs grimpantes.
Sèche tes larmes, grand couillon, tu vas mouiller tes chaussettes.
vendredi 27 février 2009
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J'ai goûté le café filtre d'Hervé à Clamecy :
RépondreSupprimerJe confirme il vaut mieux que tu n'y retournes pas un jour !
Patricia
Oh mais si, la pizza aux cèpes vaut bien mieux qu'un café filtre... :-) What else ?
RépondreSupprimerNous serons toujours ravis de te revoir à Clamecy !
Bonne continuation Hervé et à bientôt peut-être.
Christine